Art, migration et mondialisation de l'école de Paris à nos jours. Les communautés artistiques en exil : vers l'analyse interdisciplinaire comparative.
Le cycle des colloques « Art, Migration et Mondialisation » continue d’observer la nouvelle vague d'artistes déplacés en France en comparant les processus, les tendances et les spécificités d'aujourd'hui avec ceux de l'époque de la Nouvelle École de Paris. Cette fois-ci, notre colloque en plusieurs parties se concentrera sur la dynamique des communautés artistiques en exil, les questions d'identité personnelle et collective ainsi que sur l'interdisciplinarité.
Des questions de l'intégration des artistes en exil dans les institutions françaises à la formation des groupes créatifs auto-organisés, nous analyserons les intersections et les divergences entre l'École de Paris des années 1940 et les processus des dernières années impactées par les guerres en Europe.
Les interventions porteront sur les artistes de l'École de Paris tels que Ossip Zadkine et Hans Hartung dans les années 1940, les non-conformistes soviétiques émigrés en France et les artistes contemporains. Parmi les participants de notre colloque figurent des chefs et des représentants d'institutions françaises, ainsi que des chercheurs français et des artistes et commissaires d'exposition en exil eux-mêmes, qui font l'objet de leurs recherches. Il était important pour nous d'accroître la visibilité et l'agence des personnes en exil en France actuellement.
Un autre axe important de notre colloque est l'interdisciplinarité scientifique et artistique. Nous aborderons les types d'activités créatives variées telles que la peinture, la sculpture, le cinéma documentaire, la littérature, les activités de conservation, l'art performatif, etc.
Des questions de l'intégration des artistes en exil dans les institutions françaises à la formation des groupes créatifs auto-organisés, nous analyserons les intersections et les divergences entre l'École de Paris des années 1940 et les processus des dernières années impactées par les guerres en Europe.
Les interventions porteront sur les artistes de l'École de Paris tels que Ossip Zadkine et Hans Hartung dans les années 1940, les non-conformistes soviétiques émigrés en France et les artistes contemporains. Parmi les participants de notre colloque figurent des chefs et des représentants d'institutions françaises, ainsi que des chercheurs français et des artistes et commissaires d'exposition en exil eux-mêmes, qui font l'objet de leurs recherches. Il était important pour nous d'accroître la visibilité et l'agence des personnes en exil en France actuellement.
Un autre axe important de notre colloque est l'interdisciplinarité scientifique et artistique. Nous aborderons les types d'activités créatives variées telles que la peinture, la sculpture, le cinéma documentaire, la littérature, les activités de conservation, l'art performatif, etc.
Les analyses comparatives de la réalité d'aujourd'hui avec la vie artistique de Paris dans les années 1940, les expériences accumulées et les conclusions nous aideront à mieux comprendre les complexités actuelles de la vie des artistes en exil. La conférence a la tâche ambitieuse de contribuer à une meilleure intégration des artistes en France vis-a-vis des institutions françaises et européennes.
Ce soutien aux artistes s'inscrit dans la lignée de la tradition déjà établie de Paris comme havre de paix pour les artistes. En progressant dans la recherche, nous espérons également contribuer à créer un système solide et durable pour les communautés créatives vulnérables.
Comité scientifique
• Alla CHERNETSKA (EHAAS, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
• Olga KISSELEVA, (Institut ACTE Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
• Anton OREL (Institut ACTE, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
• Anastasiia SPIRENKOVA (Centre de recherches sur les arts et le langage CRAL, EHESS)
Direction scientifique : Olga KISSELEVA, Institut ACTE, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Organisation : Anton OREL, ED APESA - Institut ACTE, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Anastasiia SPIRENKOVA, Centre de recherches sur les arts et le langage CRAL, École des hautes études en sciences sociales EHESS.
Avec le support de Eastern Academic Alliance.